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© UNICEF/UNI101731/Purnomo

Coronavirus : idées reçues et fausses informations, comment les déceler ?

La propagation d’informations erronées met en péril les précautions mises en place pour lutter contre le coronavirus. En vous appropriant des informations fiables et vérifiées, vous contribuez à ce que des mesures efficaces soient mises en œuvre.

En période de crise sanitaire, la désinformation peut accentuer les comportements paranoïaques, la peur et la stigmatisation. Cela peut aussi amener des personnes à être plus vulnérables et moins bien protégées face au virus. Désinformer est dangereux et contribue à la panique, ce qui a des répercussions sur les enfants. Les services de santé peuvent en effet être perturbés par un afflux massif de personnes pensant être infectées et souhaitant être dépistées. Une mauvaise information peut au contraire éloigner des personnes ayant besoin de soins des centres de santé. Si vous pensez être atteint du coronavirus, contactez le Samu au 15. Et pour disposer d’informations vérifiées, rendez-vous sur le site dédié mis en place par le gouvernement. Vous pouvez aussi contacter 24h/24 gratuitement le 0800 130 000.

Préjugés à connotation ethnique

Outre les fausses informations, les préjugés peuvent aussi avoir des effets néfastes. UNICEF constate depuis plusieurs semaines une stigmatisation forte de personnes d’origine asiatique. Cette stigmatisation fait empirer la situation car elle vise des personnes qui n’ont potentiellement aucun problème de santé et qu’elle dédouane dans le même temps des personnes qui pourraient avoir contracté le virus. Dans le monde entier, des personnes d’origine asiatique qui n’ont même pas été en contact avec le virus font l’objet d’agressions verbales, voire physiques. UNICEF condamne très fermement ces incidents : ce nouveau virus ne peut pas être un vecteur de racisme et de xénophobie. Les virus ne ciblent pas des personnes en fonction de leur ethnie. Lorsque vous parlez du virus, veillez à utiliser des informations fiables. L’Agence France Presse a par exemple effectué une série de vérifications sur des messages diffusés au sujet du coronavirus.

Que fait UNICEF pour limiter la contagion ?

Chez UNICEF, notre priorité est d’apporter notre soutien aux gouvernements, particulièrement ceux qui sont déjà touchés, mais aussi ceux qui se préparent à une potentielle entrée du virus sur leur territoire. Nous travaillons en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé et la Croix-Rouge pour fournir des messages de prévention et surveiller la propagation du virus. Nous menons également une veille des réseaux sociaux et des médias dans différents pays pour mieux comprendre les éventuelles lacunes dans la circulation de l’information, afin de déterminer ce qui peut être fait pour y remédier.

UNICEF a par ailleurs émis une série de message à destination des établissements scolaires et des parents.