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Discours de Gabriel Attal à Viry-Chatillon : réaction d’Adeline Hazan, présidente de l’UNICEF France

Paris, le 18 avril 2024 – « Alors que le Comité des droits de l’enfant des Nations Unies a exhorté la France, en 2023, à aligner son système de justice pénale des mineurs sur la Convention internationale des droits de l’enfant, ces nouvelles mesures risquent de porter atteinte aux principes fondamentaux qui favorisent la primauté de l’aspect éducatif sur le répressif et encouragent le relèvement de l’enfant.

Selon l’article 40 de la Convention internationale des droits de l’enfant, les enfants soupçonnés ou reconnus coupables d’infractions pénales ont droit à un traitement tenant compte de leur âge et favorisant leur réinsertion dans la société. Il est donc crucial que la France respecte pleinement cette recommandation du Comité des droits de l’enfant des Nations unies.

De plus, l’ensemble de ces mesures ne semblent pas suffisamment ancrées dans la prévention et l’accompagnement des familles, des professionnels et des jeunes auteurs de violences. Certaines d’entre elles risquent d’aggraver les inégalités des chances dès le plus jeune âge pour les enfants et les jeunes vulnérables. »